18 janvier 2006
Lettre ouverte à la grippe aviaire
Chére grippe aviaire
On ne parlait que de toi dans tous nos journaux, nos émissions de radios et de télévisions. Nos hommes politiques organisaient des réunions, des conseils, des débats pour parler uniquement de ta progression.
Et soudain plus rien ? Nous faisais-tu la gueule ? Non, rien de tout cela... Tu as su te faire discrète le temps des fêtes.
Merci à toi, oh grippe aviaire, d'avoir su respecter nos chers réveillons : dinde, pintade farcie, chapon, pigeon, colombe et autres foies gras...
Maintenant que nos fêtes sont terminées, tu reprends du service et nous te comprenons...
Ton dévoué.
Harry Steed
(A noter une certaine ressemblance entre ce masque Molièresque et la tête d'un oiseau. Prémonition ?)
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